Slobodan

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He had an older brother who would later become a diplomat. En 1997, il deviendra Président de la République fédérale de Yougoslavie Serbie et Monténégro. Début de carrière politique Fils de Svetozar Milosevic, un prêtre orthodoxe, et d'une enseignante né a Požarevac en Serbie, il rejoint en 1959 la Ligue des Communistes de Yougoslavie. Retrieved 23 May 2010. Praljak voluntarily joined the newly formed after the outbreak of the in 1991. An example was in March 1991, when Serbia's Public Prosecutor ordered a 36-hour blackout of two independent media stations, B92 Radio and Studio B television to prevent the broadcast of a demonstration against the Serbian government taking place in Belgrade. Before and after the war he was an engineer, a television and theatre director, as well as a businessman. Un internet sans pub, ce sont des sites où vous devrez un jour sortir votre carte bancaire. Cambridge, UK; New York, NY: Cambridge University Press. Subsequent interviews with government officials involved in these affairs have revealed that Milošević planned to arrest the Republic of Macedonia's political leadership and replace it with politicians loyal to him. His parents separated in the. On 5 April 2004 he voluntarily surrendered and was transferred to the ICTY.

Les autorités néerlandaises ont ouvert une enquête pour établir comment un accusé du Tribunal pénal pour l'ex-Yougoslavie, le Croate de Bosnie Slobodan Praljak, a pu se suicider en avalant du «poison» mercredi devant les juges qui venaient de confirmer sa condamnation en appel. Le parquet de La Haye a annoncé qu'il lançait «à la demande du Tribunal Pénal pour l'ex-Yougoslavie TPIY » une enquête sur sa mort. Celle-ci devra avant tout établir si l'ex-chef militaire croate a reçu une aide pour commettre son suicide. «L'autopsie est notre plus haute priorité et sera menée à très court terme», a déclaré à l'AFP Frans Zonneveld, porte-parole du parquet de La Haye. Les investigations en cours ont, selon lui, déjà permis la découverte d'un «produit chimique pouvant entraîner la mort dans le récipient» dont Slobodan Praljak avait avalé le contenu. » LIRE AUSSI - Mercredi, aussitôt après l'énoncé du verdict confirmant sa condamnation à 20 ans de prison, l'accusé de 72 ans déclare d'une voix forte: «Slobodan Praljak n'est pas un criminel de guerre, je rejette avec mépris votre verdict». Il sort alors une fiole de sa poche et avale du «poison». Immédiatement, le juge président Carmel Agius ordonne la suspension de l'audience et les rideaux entourant la salle du tribunal sont tirés. «Mon client a pris du poison ce matin», explique l'avocate de la défense, Natasa Faveau-Ivanovic. Pris en charge par une ambulance, Slobodan Praljak décède dans un hôpital de la ville, d'après l'agence Hina. À l'annonce de la sentence, Slobodan Praljak a sorti une fiole de sa poche et avalé le contenu devant les caméras qui filmaient. » Elle rappelle par ailleurs que «c'est la deuxième fois que les produits illicites sont introduits dans le Tribunal». En 2006, l'ex-chef des Serbes de Croatie, Milan Babic, 50 ans, condamné à 13 ans de prison pour des exactions commises pendant la guerre de 1991-1995 en Croatie, s'était suicidé dans le centre de détention du TPIY à La Haye. Babic était le deuxième détenu du tribunal à mettre fin à ses jours, après un autre Serbe de Croatie, Slavko Dokmanovic, en juin 1998. Il prenait des médicaments qui annulaient ceux qui lui étaient prescrits contre son hypertension. Pour certains Croates, il reste un héros Ingénieur devenu directeur de théâtre, Slobodan Praljak n'était pas un militaire à l'origine, mais la guerre venue, il a vite gravi les échelons des forces croates. Haut responsable des forces armées de la république croate de Herceg-Bosna, qui a combattu les Bosniaques en 1993-94, il a été cité comme l'un des responsables de la destruction du pont ottoman de Mostar. Mais pour de nombreux Croates, il reste un héros. La semaine dernière, la présidente Kolinda Grabar-Kitarovic avait rédigé un message d'hommage, lu lors d'une promotion d'un ouvrage en son honneur, «Général Praljak». Elle a interrompu «en urgence» un voyage en Islande mercredi. À ses yeux, il incarnait la «vérité qu'il a sans relâche défendue après la guerre». Cet incident s'est produit alors que le tribunal de La Haye jugeait six ex-dirigeants et chefs militaires des Croates de Bosnie, accusés notamment de crimes de guerre pendant le conflit croato-musulman qui a éclaté durant la guerre en Bosnie. Au premier rang des accusés: Jadranko Prlic. Les juges ont eu le temps, avant le suicide de Praljak, de confirmer la condamnation à 25 ans de prison contre cet ex-dirigeant des Croates de Bosnie. Et pour avoir eu recours à des meurtres, des viols et des destructions de biens civils dans le but de créer une «grande Croatie». Sur 161 cas instruits, le TPIY aura procédé à 83 condamnations. Dernier jugement en date: le «Boucher des Balkans» Ratko Mladic, ancien chef militaire des Serbes de Bosnie,. Après l'ultime coup de théâtre de mercredi, le tribunal mis sur pied en 1993 baissera dans un mois le rideau. Le Mécanisme pour les tribunaux pénaux internationaux MTPI , compétent pour reprendre toute affaire du TPIY, prendra le relais. Avec agences Il me tarde d'entendre par les enquêteurs, comment le criminel de guerre croate s'était procuré sa fiole de cyanure et comment il l'a introduite dans sa poche? Pas seulement : il a été jugé pour bien plus que cela. Les habitants de l'ex-Yougoslavie sont en gros le même peuple des Slaves parlant la même langue, que les hasards de l'histoire a faits catholiques, orthodoxes ou musulmans. Puisque dans votre esprit les crimes de guerre et de génocide condamnés par le TPIY correspondent à l'arrêt d'une invasion, il va falloir que vous expliquiez l'existence d'une fédération croato-musulmane au sein de l'actuelle Bosnie. La question , ce n'est même pas qu'il y ait deux poids, deux mesures. Même s'il y a effectivement deux poids, deux mesures. « On a surtout jugé ceux qui ne plaisent pas aux américains et européens » Il va falloir nous expliquer qui, car le TPIY a condamné des hauts responsables des 3 belligérants, et en a acquitté pas mal aussi. Il est vrai en revanche que les états les plus puissants s'exonèrent facilement de la justice internationale c'est vrai des Etats-Unis, de la Chine et de la Russie. Mais que faut-il en conclure? Faut-il accepter toutes les atrocités, sans réaction ni jugement, ou les combattre et militer pour l'extension à tous de la justice internationale? Staline est encore très populaire en Russie et Mao en Chine. Devons-nous les absoudre de leurs crimes? Versailles, Thu 30 Nov 2017 18:38:00 0100 AdblockA l'évidence vous n'avez rien lu sur Hitler, il y a pourtant beaucoup d'ouvrages d'historiens A. Hitler était une personnalité délirante, au sens pathologique du terme. Un vrai chef capitule et assume , mais ne demande pas à ses collaborateurs ni à son pays de se suicider. La guerre était perdue depuis longtemps et Hitler le savait , mais il voulait entraîner tout un pays dans sa disparition.

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